Sébastien Huyghe

NOTRE REVUE GEEA : ENTRE POSSIBLE ET IMPOSSIBLE, DEUX LETTRES ET UN ETAT D'ESPRIT

Petit-déjeuner autour de Jacques-Antoine GRANJON, PDG et Fondateur de VEEPEE

En présence d’Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Valérie Bazin-Malgras, Yves Bouloux, Martine Berthet, Bernard Brochand, Jacques Cattin, Guillaume Chevrollier, Pierre Cordier, Eric Diard, Loïc Dombreval, Jean-Pierre Door, Fabien Di Filippo, Yannick Haury, Michel Herbillon, Sébastien Huyghe, Brigitte Kuster, Emmanuel Maquet, Frédérique Meunier, Philippe Michel-Kleisbauer, Patricia Morhet-Richaud, Antoine Savignat, Laurence Trastour-Isnart, Guy Teissier, Isabelle Valentin, Michel Vialay

En présence d’Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Valérie Bazin-Malgras, Yves Bouloux,
Martine Berthet, Bernard Brochand, Jacques Cattin, Guillaume Chevrollier, Pierre Cordier, Eric Diard, Loïc Dombreval, Jean-Pierre Door, Fabien Di Filippo, Yannick Haury, Michel Herbillon, Sébastien Huyghe, Brigitte Kuster, Emmanuel Maquet, Frédérique Meunier, Philippe Michel-Kleisbauer, Patricia Morhet-Richaud, Antoine Savignat, Laurence Trastour-Isnart, Guy Teissier, Isabelle Valentin, Michel Vialay

Loin de la morosité, GEEA s’est réunie pour évoquer l’hyper-croissance, la réussite à la française, son développement européen.

Depuis 2001, Jacques-Antoine Granjon a su imposer son propre style et devenir le numéro 1. Sur son site d’e-commerce, il solde jusqu’à 75 % des chaussures Redskins, des chemises Eden Park, des oreillers Dunlopillo, des voyages au ski ou à New York. Et les chercheurs de bonnes affaires sont des milliers à s’y rendre tous les jours pour fouiller les nouveautés.

Veepee est-elle une pépite reproductible ou un ovni tangible grâce à l’originalité de son créateur ? Jacques-Antoine était l’invité de ce petit-déjeuner. Il est revenu sur ses réussites comme ses échecs dont le plus important, l’aventure américaine.

« Nous avons débuté dans un petit local, rue Pierre Chausson, dans le quartier du Sentier. Ce commerce s’est vite transformé grâce à la révolution digitale, qui s’est accélérée surtout, depuis 2004, avec l’ar- rivée de l’ADSL.». Aucun actionnaire n’est entré en m’apportant de l’argent et je n’ai jamais eu besoin d’un euro puisque j’avais un BFR (Besoin en Fonds de Roulement) négatif. » raconte-t-il.

Cette année, Venteprivee.com s’est trans- formée en Veepee car, pour la première fois, en 2018, 50 % du chiffre d’affaires a été apporté en dehors de France.

Le secret de cet entrepreneur, c’est l’agilité de son entreprise, la recherche constante des souhaits de sa clientèle, principalement féminine. « La clé est de regarder en permanence ce qui se passe et de pouvoir s’adapter quasiment immédiatement. » assure-t-il. Il souligne aussi l’importance de rester centrer sur l’ancrage local, tout en évoquant son envie d’Europe.

« Nous avons la chance de vivre sur le continent le plus passionnant au monde et malheureusement, nous ne le construisons pas tel que nous devrions le faire. Les par- lementaires doivent nous aider, non pas avec de l’argent, mais avec de nouvelles lois sociales, avec une harmonisation fiscale où il existe toujours encore des flottements entre les Etats, où il est toujours plus agréable de vivre dans un pays plus que dans un autre sur ce sujet précis. Il doit donc y avoir une harmonisation des règles et que le marché unique devienne ainsi le marché du développement des entreprises européennes. ».

Et ne le comparez pas à Amazon, sa réplique est implacable : « Amazon répond à un besoin alors que Veepee répond à un désir. »

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Notre revue GEEA : Un autre regard sur l'industrie

Petit déjeuner autour de Maurice Levy, Président du Conseil de surveillance de Publicis

EN PRÉSENCE D'OLIVIER DASSAULT, JEAN-MICHEL FOURGOUS, JEAN-CLAUDE BOUCHET, BERNARD BROCHAND, PIERRE CORDIER, TYPHAINE DEGOIS, VIRGINIE DUBY-MULLER, JEAN-JACQUES FERRARA, FABIEN DI FILIPPO, MEYER HABIB, CLAUDE DE GANAY, LAURENT GARCIA, SÉBASTIEN HUYGHE, BRIGITTE KUSTER, CHARLES DE LA VERPILLÈRE, CONSTANCE LE GRIP, JEAN-PAUL MATTEI, ERIC PAUGET, FRÉDÉRIC REISS, RAPHAEL SCHELLENBERGER, PIERRE VATIN, STÉPHANE VIRY

sur le thème :

"Entreprises et Médias font-ils bon ménage?"

Visite de Station F : une fierté Française, un exemple à travers le monde

En présence d'Olivier Dassault, Alexandra Ardisson, Pierre-Henri Dumont, Jean-Michel Fourgous, Michel Herbillon, Jean-Luc Lagleize, Patricia Morhet-Richaud, Sébastien Huygue, Valérie Bazin-Malgras, Richard Ramos, Jean-Paul Mattéi, Pierre Vatin, Frédéric Reiss

Inauguré le 29 juin 2017 et réparti sur un campus de 34 000 mètres carrés , il est situé dans la Halle Freyssinet, à Paris. Cet incubateur a été créé par Xavier Niel et il est dirigé par Roxanne Varza. Il regroupe pas moins de 30 incubateurs, 1000 startups et 3000 entrepreneurs, avec une vision internationale.
Il rassemble également un certain nombre de services administratifs pour simplifier la vie de nos entrepreneurs !
Il favorise l'open innovation sur des secteurs très variés comme la cybersecurite, le luxe, le voyage, le numérique ! Les parlementaires ont visité venteprivee.com et Thales.
Bravo Xavier Niel ! Ressourçant.

Revue GEEA : Top départ pour la France !

La dernière revue est en ligne !

GEEA vient de publier son livre blanc !

La question écrite de GEEA sur le relèvement des seuils sociaux et fiscaux

Afin de concrétiser la proposition n°11 du livre blanc, GEEA a proposé à ses parlementaires membres de dépose une question écrite auprès du ministre du travail. L'objectif : relever les seuils sociaux et fiscaux de 10 à 20 et de 50 à 100 salariés. 

"Les comparaisons internationales de démographie d'entreprises montrent, qu'en France, l'augmentation des effectifs d'une entreprise et donc le franchissement de certains seuils, accroît très significativement le coût social pour l'employeur tout en y additionnant de nouvelles réglementations. En France, 7 ans après sa création, une entreprise emploie en moyenne 20 salariés, contre 80 en Grande-Bretagne. L'effectif moyen de toutes les entreprises françaises à leur création est de 2,7 personnes contre 6,6 aux États-unis ou encore 4,5 en Allemagne. Véritable frein psychologique à l'embauche, ces seuils sont perçus par l'employeur comme un facteur de complexification administrative et de hausse des cotisations. À titre d'exemple, le franchissement de la barre des 50 salariés a pour conséquence l'application de 34 législations et réglementations supplémentaires pour un coût représentant 4 % de la masse salariale. Il souhaite savoir si le Gouvernement prendra en compte la proposition de Génération entreprise-entrepreneurs associés, composée 120 de parlementaires, demandant le relèvement des seuils sociaux de 10 à 20 et de 50 à 100 salariés. Une telle mesure atténuera la « peur d'embaucher ». Son impact sur l'emploi serait important : 22 500 entreprises embaucheraient des salariés supplémentaires sans ces seuils sociaux. En 2012, l'INSEE et l'IFRAP évaluaient la perte d'emplois générés par les seuils sociaux entre 70 000 et 140 000 emplois."