Alain Moyne-Bressand

Petit-déjeuner autour de Marc Grosman, co-fondateur de Celio

En présence d'Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Valérie Boyer, Bernard Brochand, Guillaume Chevrollier, Marianne Dubois, Annie Genevard, Gilles Lurton, Alain Moyne-Bressand, Bernard Perrut, François Rochebloine, Fernard Siré, Claude Sturni, Pascal Thevenot, Arnaud Viala, Philippe Vitel

autour de Marc Grosman

Co-fondateur de Celio

sur le thème :

"De fil en aiguille : les étapes de la création de la saga Celio"

Petit-déjeuner GEEA autour de Gilles Pelisson, PDG de TF1

EN PRÉSENCE D'OLIVIER DASSAULT, JEAN-MICHEL FOURGOUS, BERNARD BROCHAND, GUILLAUME CHEVROLLIER, ANNIE GENEVARD, BERNARD GÉRARD, JACQUES LAMBLIN, MARC LE FUR, PIERRE MOREL-A-L'HUISSIER, ALAIN MOYNE-BRESSAND, FRANÇOIS ROCHEBLOINE, CLAUDINE SCHMID, ERIC STRAUMANN, GUY TEISSIER, PASCAL THÉVENOT, ARNAUD VIALA, PHILIPPE VIGIER, PHILIPPE VITEL

Petit déjeuner GEEA autour de Gilles Pelisson, PDG de TF1

sur le Thème:

"Le rôle d'un grand média comme TF1 au sein de la société française"

GEEA vient de publier son livre blanc !

Petit déjeuner autour de Michel Combes, Président Directeur Général de Numericable-SFR

En présence d'Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Guillaume Chevrollier, Julien Dive, Philippe Dominati, Claude de Ganay, Bernard Gérard, Denis Jacquat, Charles de la Verpillère, Isabelle Le Callennec, Gilles Lurton, Alain Moyne-Bressand, Pierre Morel-A-l'Huissier, Frédéric Reiss, Fernand Siré, Guy Teissier, Pascal Thévenot, Arnaud Viala, Philippe Vitel

A l'occasion de son petit-déjeuner mensuel, GEEA, présidé par Olivier Dassault a reçu Michel Combes, PDG de Numericable-SFR sur le thème : 

" La France connectée "

Petit-déjeuner autour de Gérard Pélisson, co-fondateur du groupe Accor

En présence d’Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Edouard Courtial, Claude de Ganay, Annie Genevard, Philippe Gosselin, Claude Greff, Arlette Grosskost, Valérie Lacroute, Isabelle Le Callennec, Alain Marsaud, Alain Moyne-Bressand, Claudine Schmid, Fernand Siré, Arnaud Viala

« L’histoire d’Accor est une aventure humaine, entrepreneuriale. Nous avons inventé le concept de co-présidence qui dans le monde politique ne saurait exister parce que cela demande un respect mutuel extraordinaire. Nous formons encore avec mon co-fondateur, Paul Dubrule, un tandem inoxydable après 50 ans : nous sommes totalement incompatibles mais formidablement complémentaires ».

C’est sur ce ton décontracté et espiègle que Gérard Pélisson, cofondateur du groupe Accor, un des leaders mondiaux de l’hôtellerie, a débuté son intervention. Il préside également l’Institut Paul Bocuse et l’union des français de l’étranger.

De nombreux parlementaires étaient présents pour entendre le témoignage entrepreneurial d'un homme d'exception qui participe au rayonnement de la France dans le monde.

Petit déjeuner autour de Paul-François Fournier, Directeur Innovation de BPIFrance

En présence d’Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Olivier Carré, Marianne Dubois, Annie Genevard, François Guégot, Arlette Grosskost, Claude Greff, Michel Herbillon, Véronique Louwagie, Gilles Lurton, Alain Moyne-Bressand, François Rochebloine, Catherine Vautrin, Philippe Vitel

Alors que la BPIFrance tient en ce moment l’affiche pour motiver les entrepreneurs et séduire les jeunes : « Entrepreneurs, vous envoyez du bois, nous enverrons du blé », GEEA a souhaité interroger son directeur exécutif et directeur de l’innovation, Paul-François Fournier, sur le rôle de cette banque publique dans le financement des projets innovants.

Paul-François Fournier nous a informé que la BPI France avait fait le choix de « l’effet d’accélération pour les start-up » même si elle continue sa mission de service public là où les banques sont absentes.

Il a rappelé l’importance de l’innovation pour créer de la croissance et des emploiset ajoute que : « l’entreprise innovante croît en moyenne de plus de 10% par an. Celle qui n’est pas innovante a un chiffre d’affaires qui décroît de 2 à 3% par an. Le sujet de l’innovation est au cœur de la problématique de la création de valeurs et derrière c’est l’international. »

Paul-François Fournier a rappelé combien le crédit impôt recherche était essentiel dans le soutien à l’innovation puisqu’une enquête de l’OCDE montre que la France est le troisième pays au monde dans les dispositifs d’incitation à innover.

Tribune dans le Figaro : Révolution numérique n'ayons pas peur !

Petit-déjeuner autour de Philippe d'Ornano, Co-président d'Asmep-ETI

GEEA a reçu le co-président d’Asmep-ETI et Président du directoire de Sisley pour échanger, avec les adhérents et les parlementaires, sur la situation des « ETI : le capitalisme de long terme au service des territoires ».

Le nombre d’ETI Françaises est très faible, 4 600, en comparaison à l’Allemagne (12 500), au Royaume-Uni (10 000), ou encore l’Italie (8 000).  

Pourtant, ces ETI sont des atouts économiques majeurs. « Elles sont à 65% avec des sièges sociaux hors de l’Ile de France ; ce sont des entreprises des régions et qui donnent à nos territoires une stabilité grâce à leur solidité.

Elles représentent : 27% du chiffre d’affaires des entreprises françaises, 1/3 des exportations et 22% de l’emploi salarié. Leur modèle économique est très apprécié par les salariés. Elles allient la proximité grâce à leur taille humaine et en même temps donnent une sécurité aux salariés du fait de leur dimension. Contrairement aux PME, elles n’ont pas de problème de financement. 80% des ETI sont des entreprises familiales. » développe le Président Philippe d’Ornano.

Mais comment développer nos ETI ? « C’est justement l’ambition de l’Asmep » répond-il. « Si on veut créer davantage d’ETI sur le modèle allemand, il faut créer un écosystème raisonnablement compétitif par rapport à la moyenne européenne. En France, nous n’avons pas intégré que les entreprises travaillent dans un environnement et une concurrence mondiale. On ne peut pas vivre replié sur nous-même sans analyser les conséquences des mesures qu’on prend. Il est important de comparer nos systèmes. »

Et quand il parle de la fiscalité des entreprises, la comparaison avec les autres états européens fait mouche : « On taxe 40% de plus les entreprises Françaises, non pas qu’en Chine, mais que la moyenne européenne ! Comment peut-on durablement construire des entreprises et développer les ETI dans ces conditions ? Il y a un enjeu énorme sur la taxation des outils de production.

La France a le taux d’impôt sur les sociétés le plus élevé d’Europe qui peut monter jusqu’à 38%. Comme les marges sont historiquement faibles et que c’est un impôt sur les bénéfices, le produit de cet impôt est dans la moyenne européenne. On parle d’élargir encore l’assiette, c’est-à-dire taxer encore plus les entreprises ! Il est probable que ça aura encore un impact sur les marges et sur les investissements sans pour autant augmenter le rendement.

Le deuxième niveau d’impôt, où il existe un énorme écart par rapport à la moyenne européenne, ce sontles taxes hors IS, locales et sectorielles. Officiellement, il y en a 192 mais certainement beaucoup plus. Les « think tank » travaillent pour les lister de manière plus précise. Quand on les additionne, elles représentent 2/3 de l’impôt sur les sociétés. »

Il conclura ce petit-déjeuner en rappelant que « ce climat anxiogène chez les chefs d’entreprises, qui essaient de créer, est néfaste au site France. Si on veut rediriger l’argent des Français vers l’investissement de long terme, il faut créer un statut et il faut déconnecter la fiscalité du patrimoine de l’investissement avec un engagement de conservation. Si on le fait, on aura fait un grand pas vers la création d’un « Mittelstand » en France. »

Lire le compte-rendu

La question écrite de GEEA sur le relèvement des seuils sociaux et fiscaux

Afin de concrétiser la proposition n°11 du livre blanc, GEEA a proposé à ses parlementaires membres de dépose une question écrite auprès du ministre du travail. L'objectif : relever les seuils sociaux et fiscaux de 10 à 20 et de 50 à 100 salariés. 

"Les comparaisons internationales de démographie d'entreprises montrent, qu'en France, l'augmentation des effectifs d'une entreprise et donc le franchissement de certains seuils, accroît très significativement le coût social pour l'employeur tout en y additionnant de nouvelles réglementations. En France, 7 ans après sa création, une entreprise emploie en moyenne 20 salariés, contre 80 en Grande-Bretagne. L'effectif moyen de toutes les entreprises françaises à leur création est de 2,7 personnes contre 6,6 aux États-unis ou encore 4,5 en Allemagne. Véritable frein psychologique à l'embauche, ces seuils sont perçus par l'employeur comme un facteur de complexification administrative et de hausse des cotisations. À titre d'exemple, le franchissement de la barre des 50 salariés a pour conséquence l'application de 34 législations et réglementations supplémentaires pour un coût représentant 4 % de la masse salariale. Il souhaite savoir si le Gouvernement prendra en compte la proposition de Génération entreprise-entrepreneurs associés, composée 120 de parlementaires, demandant le relèvement des seuils sociaux de 10 à 20 et de 50 à 100 salariés. Une telle mesure atténuera la « peur d'embaucher ». Son impact sur l'emploi serait important : 22 500 entreprises embaucheraient des salariés supplémentaires sans ces seuils sociaux. En 2012, l'INSEE et l'IFRAP évaluaient la perte d'emplois générés par les seuils sociaux entre 70 000 et 140 000 emplois."

Tribune dans Valeurs Actuelles : Monsieur Hollande, ouvrez les yeux !

– Valeurs Actuelles – TRIBUNE, juillet 2013 –

Monsieur Hollande, ouvrez les yeux !

Alors que la France est en récession, le gouvernement n’a d’autre réponse que d’augmenter les prélèvements sur les entreprises.

Alors que nous sommes en pleine crise économique, que les marges brutes des entreprises françaises sont les plus basses d’Europe, que les plans sociaux s’accumulent, qu’on dénombre 1 328 chômeurs supplémentaires chaque jour, nous avons quotidiennement de nouvelles preuves de l’amateurisme du président de la République et de son gouvernement.

François Hollande veut se convaincre que le délai de grâce de deux ans pour revenir à un déficit de 3 % accordé par la Commission européenne est une bonne nouvelle. Mais c’est reculer pour mieux sauter ! L’austérité qui sera menée sera peut-être un peu moins brutale car étalée dans le temps, mais elle restera forte (avec un ajustement annuel de 1,3 point de PIB de 2012 à 2015) et très douloureuse car il n’y a aucune chance pour que le chômage baisse avant 2015.

Bercy a déposé il y a quelques jours au Parlement son projet de loi de règlement du budget de l’État au titre de l’année 2012, aux fins d’approbation des comptes. Alors que la France est entrée en récession, le gouvernement s’autocongratule en affirmant que « la France […]a bien résisté, ne subissant pas de repli marqué de son activité à l’inverse de ses partenaires de la zone euro ». Pourtant, en 2012, tous les secteurs d’activité sont marqués par la dégradation de l’activité.

À l’été 2012, le gouvernement de Jean-Marc Ayrault a augmenté brutalement le forfait social en le faisant passer de 8 à 20 %. S’il avait voulu déstabiliser le climat social des PME et des grandes entreprises, il ne s’y serait pas pris autrement. Cette décision a notamment abouti pour de nombreux salariés à la fin de l’abondement d’employeur aux plans d’épargne d’entreprise (PEE) et plans d’épargne pour la retraite collectifs (Perco). Sans oublier la perte de revenus non négligeable pour plusieurs millions de salariés à la suite de la suppression des heures supplémentaires défiscalisées.

En additionnant les mesures du premier budget rectificatif de 2012 de la nouvelle majorité (relèvement du forfait social – la fiscalité sur l’intéressement et la participation -, taxe sur les dividendes) aux mesures du budget 2013 et du financement de la Sécurité sociale, on atteint des hausses de prélèvements de 16 milliards sur les entreprises. À cette somme, il faut ajouter les 3 milliards de prélèvement écologique que le gouvernement a prévu pour financer son crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE). Au total, la hausse des prélèvements sur les entreprises atteint donc 19 milliards d’euros pour un crédit d’impôt de 20 milliards qualifié de « révolution copernicienne » par M.Moscovici ! Le gouvernement n’a fait que donner d’une main ce qu’il a repris de l’autre. Tout cela pour aboutir à l’attribution de 4 324 CICE pour 2,5 millions d’entreprises asphyxiées !

Pour sortir de la crise, le gouvernement doit diminuer significativement les dépenses publiques, baisser les cotisations patronales et salariales, exonérer de charges sociales pendant trois ans les TPE qui embauchent en CDI un chômeur, opter pour une flexisécurité plus opérante.

C’est ainsi que nous gagnerons en compétitivité, que nous aurons une chance de réindustrialiser la France et de créer de l’emploi.

La question écrite de GEEA sur les limites du CICE

41 parlementaires, membres de GEEA, ont adressé une question écrite, parue au Journal Officiel, à Bernard Cazeneuve, ministre chargé du budget.

 

Afin de bénéficier du CICE, les entreprises doivent respecter plusieurs obligations déclaratives auprès de l'Urssaf et de l'administration fiscale, sous format papier. S'ajoute, ainsi, un coût pour l'entreprise, en termes de gestion, lié à la justification de la destination de ce crédit. C'est une véritable « usine à gaz » qui renforce la méfiance des entreprises. Ce crédit d'impôt n'a aucun impact pour les entreprises n'employant que des salariés à haut niveau de qualification, rémunérés à plus de 2,5 fois le SMIC. Il ne ralentira donc pas les fuites des cerveaux et l'exil des jeunes que la France éduque et qui préfèrent partir pour s'assurer un avenir meilleur. Les entreprises se délocalisent de plus en plus, dans les pays voisins, là où nos jeunes se sont installés, là où les charges et la réglementation sont moins lourdes, là où les pouvoirs publics les accueillent avec bienveillance. Les entrepreneurs restent vigilants quant aux contreparties supplémentaires susceptibles d'être exigées par les pouvoirs publics au cas où ils viendraient à bénéficier de ce dispositif. Pour gérer leur société, les entrepreneurs ont besoin d'un cadre juridique, fiscal stable et simplifié. C'est en prenant des mesures en ce sens que les pouvoirs publics retrouveront de la crédibilité et la confiance des créateurs d'emplois et de richesse. Les parlementaires souhaitent savoir si le Gouvernement compte simplifier ce crédit d'impôt compétitivité emploi. En baissant directement les charges des entreprises à hauteur de 30 milliards d'euros comme le préconise le rapport Gallois, le Gouvernement contribuerait à améliorer les marges des entreprises, qui sont les plus faibles d'Europe !

Facilitons la récapitalisation de nos entreprises familiales par Alain Moyne-Bressand

Alain Moyne-Bressand, Député de l’Isère et Maire de Crémieu, est favorable à des mesures permettant aux entreprises familiales de renforcer leur fonds propres pour mieux affronter la concurrence internationale et poursuivre leur croissance


 Pensez-vous que la pérennité des entreprises familiales – qui sont essentielles à notre tissu économique – soit menacée ?

Dans son rapport rendu en octobre 2009 à Hervé Novelli, alors Secrétaire d’État chargé du commerce, de l’artisanat, et des petites et moyennes entreprises, Olivier Mellerio , affirme que « si l’entreprise familiale reste encore largement majoritaire en France, en regroupant 83% des entreprises, et contribue très largement à la richesse du pays avec environ 50% du PNB et des emplois, elle est gravement menacée dans sa pérennité, en particulier dès que les entreprises grandissent en taille. »


En effet, si la France comptabilise un très grand nombre de TPE et PME, ainsi que 40 grandes entreprises dans les 500 premières mondiales, elle ne compte, en revanche, que 4600 ETI (Entreprises de Taille Intermédiaire comprenant entre 250 et 5000 salariés), soit trois fois moins d’ETI qu’en Allemagne, et deux fois moins qu’en Angleterre.

Cette menace qui pèse sur la pérennité des ETI résulte notamment de l’incapacité structurelle des entreprises familiales à accumuler du capital, car 85% des ETI sont des entreprises familiales. Et, malheureusement, cette menace est d’autant plus réelle aujourd’hui que le projet de loi de finances pour 2013 porte fortement atteinte à l’initiative entrepreneuriale, la capacité à innover, et la compétitivité, le seul mot d’ordre de notre gouvernement actuel étant de taxer les revenus du capital. 

Quels en sont les enjeux de compétitivité pour les entreprises familiales sur les marchés internationaux? 


L’international est le nouveau relais de croissance et l’innovation est le levier de compétitivité, il faut donc absolument stimuler nos entreprises familiales à investir et à innover pour qu’elles puissent être compétitives et être en mesure de conquérir les marchés internationaux. Pour investir les marchés internationaux, il faut accumuler du capital, car ce sont eux, les capitaux propres, qui permettent d’investir et d’innover sans recourir à l’endettement.

Pourtant, les entreprises européennes sont particulièrement dépendantes du crédit bancaire pour leur financement: elles y ont recours à hauteur de 75% contre seulement 50% pour les entreprises japonaises et 20% pour les entreprises américaines . Il faut donc réduire la dépendance de nos entreprises familiales au crédit bancaire et favoriser l’accumulation du capital qui permet la croissance. Les capitaux propres servent également de garantie aux créanciers de l’entreprise. Et, cette recapitalisation des entreprises est d’autant plus fondamentale que nous traversons une crise économique sans précédent, les banques sont donc plus frileuses que jamais pour les soutenir.

Quels moyens voyez-vous pour encourager l’investissement ?

Pour augmenter les capitaux propres des entreprises il faut donc encourager l’investissement. Pour encourager l’investissement, on peut multiplier les dispositifs tels que l’investissement TEPA mis en place par Nicolas Sarkozy ou l’investissement Madelin. On peut aussi relever les plafonds d’exonération de ces dispositifs. 

C’est ainsi qu’on incitera l’investissement des particuliers vers les PME et c’est ainsi que nos PME pourront grandir en taille, et que nos entreprises familiales pourront rester le moteur de la création des richesses et des emplois de demain. Enfin, et pour conclure, je rajouterai que, s’il faut effectivement rétrécir les écarts d’imposition entre revenus du capital et revenus du travail, c’est plus en abaissant l’imposition du travail qu’en augmentant systématiquement celle du capital qu’il faut le faire.

Tribune dans le Monde : Arrêtons d'accabler nos entrepreneurs !