Gilles Lurton

Petit-déjeuner autour de Jean-Paul AGON, PDG du groupe L'Oréal

En présence d’Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Emmanuelle Anthoine, Sophie Auconie, Belkhir Belhaddad, Grégory Besson-Moreau, Jean-Marie Bockel, Pascal Bois, Yves Bouloux, Valérie Boyer, Guy Bricout, Guillaume Chevrollier, Pierre Cordier, Pierre Cuypers, Loïc Dombreval, Virginie Duby-Muller, Daniel Fasquelle, Nicolas Forissier, Laurent Garcia, Meyer Habib, Michel Herbillon, Stéphanie Kerbarh, Véronique Louwagie, Gilles Lurton, Emmanuel Maquet, Frédérique Meunier, Frédéric Reiss, Vincent Segouin, Laurence Trastour-Isnart, Pierre Vatin, Arnaud Viala, Michel Vialay

En présence d’Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Emmanuelle Anthoine, Sophie Auconie, Belkhir Belhaddad, Grégory Besson-Moreau, Jean-Marie Bockel, Pascal Bois, Yves Bouloux, Valérie Boyer, Guy Bricout, Guillaume Chevrollier, Pierre Cordier, Pierre Cuypers, Loïc Dombreval, Virginie Duby-Muller, Daniel Fasquelle, Nicolas Forissier, Laurent Garcia, Meyer Habib, Michel Herbillon, Stéphanie Kerbarh, Véronique Louwagie, Gilles Lurton, Emmanuel Maquet, Frédérique Meunier, Frédéric Reiss, Vincent Segouin, Laurence Trastour-Isnart, Pierre Vatin, Arnaud Viala, Michel Vialay

Il y a quelques années, notre invité dînait dans un restaurant chinois du 13ème arron- dissement de Paris. L’histoire ne dit pas avec qui, ni où, ni quoi. Quoi qu’il en soit, son « fortune cookie » disait : « vous avez beaucoup de chance, mais vous en aurez besoin ». Une prédiction tout à fait exacte ! Avant de devenir le 5ème PDG en 100 ans d’existence de L’Oréal, l’indétrônable pre- mier groupe de cosmétique au monde, aux 36 marques, couvrant tous les pays, toutes les gammes de prix, répondant à tous les besoins beauté, Jean-Paul Agon y fait ses classes dès sa sortie d’HEC. La consécration ? Ce sera en 1997, quand il prendra en charge le développement de toutes les activités de la zone Asie. Son arrivée coïncidera avec la crise financière du continent. Le succès a été tel, que le groupe lui confiera ensuite la direction de L’Oréal Etats-Unis... une semaine avant le 11 septembre. Rappelez-vous du « fortune cookie » ! Quel est le secret de cette aurore L’Oréal, devenue la marque française la plus puissante dans le monde ? Mélangez la stabilité, l’énergie, l’audace, l’intuition L’Oréal, c’est un empire qui a réussi à s’adapter. Il est aussi un des premiers à avoir anticipé « la révolution digitale » en offrant une nouvelle « expérience produit » aux clients. « Aujourd’hui, c’est déterminant. Le digital est l’avantage compétitif majeur en matière de relations avec les consommateurs, de marques, de mar- keting, de communication ou encore de e-commerce. Il représentait 0% de notre chiffre d’affaires il y a encore 5 ans. Aujourd’hui, nous en sommes à 13,5% et surtout il connaît une croissance de 50% par an, soit pratiquement la totalité de la croissance globale pour le groupe. » soulève Jean-Paul Agon.

Notre pays ne représente que 7 % de son chiffre d’affaires et pourtant 25% de la production industrielle mondiale et les deux tiers des investissements en matière de recherche se passent sur notre sol. Le cœur stratégique de L’Oréal est incontestablement en France. Ce fleuron international paie 25% de ses impôts mondiaux en France.

Il conclura par ces mots « Il faut anticiper ce qu’il va se passer et prendre les bons paris, les bons virages et être toujours extrêmement agile de façon à pouvoir bouger en fonction des évolutions. C’est une très belle aventure grâce à des équipes absolument formidables. Nous sommes une entreprise avec une culture très forte, que nous avons tou- jours gardée, lorsque nous relisons les maximes aujourd’hui d’Eugène Schueller ou de François Dalle, les mêmes valeurs persistent, applicables dans un monde différent, avec des technologies différentes. Nous sommes humanistes, avec la volonté de l’excellence et celle de gagner. Nous avons aussi la chance d’avoir beaucoup de gens qui veulent nous rejoindre, nous recevons environ 1 million 500 milles candidatures chaque année dans le monde. C’est une aventure qui n’a que 110 ans et nous sommes bien tous décidés chez L’Oréal à la faire continuer très longtemps. » Quelle belle note d’espoir pour le savoir-faire français et son rayonnement !


Notre revue GEEA : Entreprises : les bons tuyaux pour l'innovation et l'emploi

Petit déjeuner autour de Nicolas Seydoux, Président du Conseil d'administration de Gaumont

En présence d’Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Bernard Brochand, Guillaume Chevrollier, Dino Cinieri, Pierre Cordier, Catherine Dumas, Michel Herbillon, Claude de Ganay, Brigitte Kuster, Jean-Luc Lagleize, Sébastien Leclerc, Constance Le Grip, Gilles Lurton, Bernard Perrut, Maina Sage, Buon Tan, Laurence Trastour-Isnart, Pierre Vatin et Michel Vialay.

sur le thème :

« LE CINÉMA FRANÇAIS : UN RAYONNEMENT CULTUREL ... UNE FORCE ÉCONOMIQUE ? »

Petit-déjeuner autour de Jean-Dominique Senard, PDG de Michelin

En présence d’Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Valérie Beauvais, Bernard Brochand, Valérie Boyer, Pierre Cordier, Rémi Delatte, Vincent Descoeur, Marianne Dubois, Laurent Garcia, Yannick Haury, Michel Herbillon, Alain Houpert, Jean-Luc Lagleize, François-Michel Lambert, Laure de La Raudière, Charles de La Verpillère, Véronique Louwagie, Gilles Lurton, Sylvain Maillard, Pierre Morel-à-L’Huissier, Jean-François Rapin, Frédéric Reiss, Vincent Rolland, Eric Straumann, Laurence Trastour-Isnart, Pierre Vatin et Stéphane Viry.

sur le thème :

« RÉCONCILIER ENTREPRISE ET SOCIÉTÉ : CELA PEUT-IL ROULER ? »

Petit-déjeuner GEEA autour de Jacques Séguéla

En présence d’Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Emmanuelle Anthoine, Valérie Bazin-Malgras, Pascal Bois, Jean-Claude Bouchet, Celine Boulay- Esperonnier, Bernard Brochand, Fabrice Brun, Jacques Cattin, Pierre Cordier, Olivier Damaisin, Remi Delatte, Eric Diard, Loïc Dombreval, Jean-Jacques Ferrara, Laurent Garcia, Annie Genevard, Yannick Haury, Michel Herbillon, Brigitte Kuster, Jean-Luc Lagleize, Sebastien Leclerc, Ronan Le Gleut, Constance Le Grip, Gilles Lurton, Maxime Minot, Benoit Potterie, Eric Straumann, Laurence Trastour-Isnart, Pierre Vatin, Arnaud Viala et Michel Vialay.

sur le thème :

« PEUT-ON VENDRE UN POLITIQUE COMME ON VEND UNE LESSIVE ? »

Notre revue GEEA : Accélérons la croissance !

Le Figaro : «Loi Pacte : il faut aller plus loin pour libérer notre croissance !»

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Les membres de «Génération entreprise-Entrepreneurs associés» soutiennent les mesures de la loi Pacte mais demandent davantage d'audace. - Crédits photo : ERIC FEFERBERG/AFP

Alors que le gouvernement d'Édouard Philippe avait tablé sur une croissance de 2 % en 2018, celle-ci connaît en réalité un vrai coup d'arrêt. En stagnant à 0,2 % du PIB au deuxième trimestre, elle devrait ainsi davantage avoisiner les 1,7 % cette année, avec des conséquences en cascade sur notre niveau de chômage ou la situation de nos finances publiques.

Avec un taux de chômage de 9,2 %, la France reste ainsi en queue de peloton de la zone euro, mais elle apparaît surtout comme le membre de l'Union européenne dont le chômage décroît le plus lentement depuis le début de la reprise. Quant à notre dette, cette dernière continue inexorablement de grimper pour s'élever aujourd'hui à 97,6 % du PIB, un niveau sans précédent dans notre histoire.

Mais alors, après la magnifique victoire de la France au Mondial de football, que faire pour que notre pays devienne, aussi, le champion du monde de l'économie et de l'emploi?

Le plan d'action pour la croissance et la transformation des entreprises, dit loi Pacte, offre une opportunité historique pour déverrouiller les principaux freins à la croissance de nos entreprises, libérer leur capacité d'emploi et débrider, enfin, leur formidable potentiel d'innovation.

» LIRE AUSSI - Ce qui va changer pour les salariés et les entreprises avec la loi Pacte

L'installation d'un guichet unique pour la création d'entreprise, la rationalisation des procédures de redressement judiciaire ou encore la libération de l'intéressement et de la participation, conformément à l'objectif du général de Gaulle de mettre fin aux affrontements stériles entre capital et travail, vont notamment dans la bonne direction. Certaines de ces propositions étaient d'ailleurs présentes dans le livre blanc de «Génération entreprise- Entrepreneurs associés», remis au ministre de l'Économie et des Finances, par les 140 parlementaires membres de cette association d'intérêt général, en janvier de cette année.

Profiter d'une conjoncture économique favorable

C'est pourquoi, si nous soutenons les mesures qui visent à lever les obstacles du développement de nos entreprises, de leur création à leur transmission, en passant par leur financement, nous appelons également de nos vœux que certaines d'entre elles soient beaucoup plus ambitieuses. Comme le préconise le FMI, c'est en effet maintenant qu'il faut «réparer la toiture tant que le soleil brille» en profitant de cette conjoncture économique favorable pour mener des réformes courageuses.

C'est notamment le cas de la simplification des seuils sociaux, ces véritables freins à l'embauche qui conduisent notre pays à cette situation unique au monde: deux fois plus d'entreprises de 49 que de 50 salariés!

Certes, la mise en place d'un délai de cinq ans pour répondre aux obligations et l'harmonisation du mode de calcul des effectifs faciliteront la vie des entrepreneurs. Mais pourquoi ne pas aller plus loin en repoussant toutes les obligations du seuil de 50 salariés, même celles du Code du travail, à au moins 100 salariés? L'enjeu est de taille car si notre pays détient l'un des records du monde en termes de créations d'entreprises, avec 591 000 créations en 2017, ces dernières ne grandissent que trop lentement, avec seulement 5 800 entreprises de taille intermédiaire, contre plus de 12 500 en Allemagne!

Concernant le financement de nos entreprises, il faudrait également plus d'ambition tant le léger renforcement prévu du PEA-PME et des fonds Euro-croissance, deux instruments financiers mis en place sous le précédent quinquennat et qui n'ont jamais rencontré le succès escompté, semble insuffisant face à l'urgence de la situation.

Dès lors, pourquoi ne pas déplafonner le dispositif Madelin, le PEA-PME et le financement participatif? Une telle mesure permettrait de combler la fin de l'ISF-PME et de faire émerger de solides «business angels» pour transformer notre épargne stérile en une épargne fertile, au service de l'emploi des Français. Il s'agit en effet de s'attaquer au sujet crucial du renforcement de l'investissement direct des Français vers nos TPE, nos start-up et nos PME en augmentant considérablement l'incitation fiscale en proportion des risques pris, à l'image de l'exemple britannique avec une incitation forte à investir, jusqu'à 1 million de livres, déductible à 30 % de l'impôt sur le revenu.

Alors oui, ne manquons pas d'audace pour réconcilier les Français avec l'économie et leur donner envie de s'impliquer dans la vie de nos entreprises. C'est une exigence si nous voulons libérer les talents, les énergies, les volontés, pour devenir la «Silicon Valley» de l'Europe à horizon de dix ans et redonner à notre pays l'optimisme qu'il n'aurait jamais dû perdre.

Olivier Dassault, député de l'Oise et président de Génération entreprise- Entrepreneurs associés (GEEA), est par ailleurs administrateur de Dassault Médias, société propriétaire du Figaro. Jean-Michel Fourgous, président de l'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines, est délégué général de GEEA. La liste complète des 74 parlementaires cosignataires - parmi lesquels Valérie Bazin-Malgras, députée de l'Aube et vice-présidente de l'Assemblée, Michel Herbillon, député du Val-de-Marne et vice-président de l'Assemblée, Annie Genevard, députée du Doubs et vice-présidente de l'Assemblée - peut être consultée sur FigaroVox.

La liste des signataires:

Olivier Dassault, député de l'Oise; Jean-Michel Fourgous, Président Saint-Quentin-en-Yvelines; Valérie Bazin-Malgras, députée de l'Aube et Vice-Présidente; Michel Herbillon, député du Val de Marne et Vice Président; Annie Genevard, député du Doubs et Vice-Présidente de l'AN; Marc Le Fur, député des Côtes-d'Armor; Eric Ciotti, député des Alpes-Maritimes; Daniel Fasquelle, député du Pas-de-Calais; Laure de La Raudière, députée d'Eure-et-Loir; Damien Abad, député de l'Ain; Sophie Auconie, députée d'Indre-et-Loire; Thibault Bazin, député de Meurthe-et-Moselle; Olivier Becht, député du Haut-Rhin; Martine Berthet, sénatrice de la Savoie; Jerome Bignon, sénateur de la Somme; Jean-Yves Bony, député du Cantal; Ian Boucard, député du territoire de Belfort; Céline Boulay-Esperonnier, sénatrice de Paris; Valérie Boyer, députée des Bouches-du-Rhône; Bernard Brochand, député des Alpes-Maritimes; Fabrice Brun, député de l'Ardèche; Olivier Cadic, Sénateur des français de l'étranger; Jacques Cattin, député du Haut-Rhin; Gérard Cherpion, député des Vosges; Guillaume Chevrollier, Sénateur de la Mayenne; Paul Christophe, député du Nord; Dino Cinieri, député de la Loire; Pierre Cuypers, sénateur de la Seine-et-Marne; Typhanie Degois, députée de Savoie; Remi Delatte, député de Côte-d'Or; Stéphane Demilly, député la Somme; Julien Dive, député de l'Aisne; Philippe Dominati, sénateur de Paris; Marianne Dubois, députée Du Loiret; Pierre-Henri Dumont, député duPas-de-Calais; Jean-Jacques Ferrara, député de Corse du Sud; Nicolas Forissier, Ancien ministre, député de l'Indre; Claude de Ganay, député du Loiret; Laurent Garcia, député de Meurthe-et-Moselle; Meyer Habib, député des Français de l'étranger; Philippe Gosselin, député de la Manche; Patrick Hetzel, député du Bas-Rhin; Alain Houpert, sénateur de la Côte-d'Or; Brigitte Kuster, députée de Paris; Elisabeth Lamure, Sénatrice du Rhône; David Lorion, député de la Réunion; Sébastien Leclerc, député du Calvados; Ronan Le Gleut, Sénateur des français de l'étranger; Constance Le Grip, députée des hauts-de-seine; Vivette Lopez, sénatrice du Gard; Véronique Louwagie, député de l'Orne; Gilles Lurton, député d'Ille-et-Vilaine; Emmanuel Maquet, député de la Somme; Sébastien Meurant, sénateur du Val-d'Oise; Maxime Minot, député de l'Oise; Patricia Morhet-Richaud, sénatrice des Hautes-Alpes; Christophe Naegelen, député des Vosges; Olivier Paccaud, sénateur de l'Oise; Bernard Perrut, député du Rhône; Berengère Poletti, député des Ardennes; Benoit Potterie, député du Pas-de-Calais; Sophie Primas, Sénatrice des Yvelines; Didier Quentin, député de charente maritime; Damien Regnard, Sénateur des français de l'étranger; Jean-Luc Reitzer, député du Haut-Rhin; Maina Sage, député de la Polynésie française; Raphaël Schellenberger, député du Haut Rhin; Eric Straumann, député du Haut-Rhin; Jean-Charles Taugourdeau, député du Maine-et-Loire; Guy Teissier, député des Bouches-du-Rhône; Laurence Trastour-Isnart, députée du Alpes-Maritimes; Isabelle Valentin, député de Haute-Loire; Pierre Vatin, député de l'Oise; Arnaud Viala, député de l'Aveyron; Michel Vialay, député des Yvelines; Stéphane Viry, député des Vosges.

Notre revue GEEA : Un autre regard sur l'industrie

Petit déjeuner autour de Jean-Cyril Spinetta

En présence d’Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Thibault Bazin, Valérie Beauvais, Grégory Besson-Moreau, Pascal Bois, Jean-Claude Bouchet, Jacques Cattin, Olivier Damaisin, Loïc Dombreval, Jean-Pierre Door, Jean-Jacques Ferrara, Laurent Garcia, Yannick Haury, Alain Houpert, Jean-Luc Lagleize, Marc Le Fur, Véronique Louwagie, Gilles Lurton, Emmanuel Maquet, Maxime Minot, Christophe Naegelen, Bernard Perrut, Frédéric Reiss, Laurence Trastour-Isnart, Pierre Vatin, Arnaud Viala, Philippe Vigier, Stéphane Viry

« Et si nous prenions un train d’avance ? »

autour de Jean-Cyril Spinetta, Auteur d’un rapport sur l’avenir du transport ferroviaire

Revue GEEA : Top départ pour la France !

Petit-déjeuner autour de Laura Flessel, ministre des Sports

En présence d'Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Thibault Bazin, Valérie Bazin-Malgras, Jacques Cattin, Jean-Claude Bouchet, Bernard Brochand, Gérard Cherpion, Dino Cinieri, Rémi Delatte, Claude de Ganay, Jean-Jacques Ferrara, Fabien di Filippo, Laurent Garcia, Annie Genevard, Valérie Lacroute, Sébastien Leclerc, Gilles Lurton, Jean-Paul Mattéi, Gérard Menuel, Christophe Naegelen, Olivier Paccaud, Jean-François Parigi, Eric Pauget, Guillaume Peltier, Bérengère Poletti, Frédéric Reiss, Maïna Sage, Laurence Trastour-Isnart, Charles de la Verpillère, Michel Vialay

 

autour de Laura Flessel

ministre des Sports

sur le thème :

" Jeux Olympiques 2024 : une chance pour la France ? "

Petit-déjeuner autour de Marc Grosman, co-fondateur de Celio

En présence d'Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Valérie Boyer, Bernard Brochand, Guillaume Chevrollier, Marianne Dubois, Annie Genevard, Gilles Lurton, Alain Moyne-Bressand, Bernard Perrut, François Rochebloine, Fernard Siré, Claude Sturni, Pascal Thevenot, Arnaud Viala, Philippe Vitel

autour de Marc Grosman

Co-fondateur de Celio

sur le thème :

"De fil en aiguille : les étapes de la création de la saga Celio"

Petit-déjeuner autour de Martin Bouygues

En présence d'Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Jacques-Alain Bénisti, Philippe Briand, Bernard Brochand, Guillaume Chevrollier, Edouard Courtial, Virginie Duby-Muller, Claude de Ganay, Annie Genevard, Claude Greff, Valérie Lacroute, Charles de la Verpillère, Isabelle Le Callennec, Marc Le Fur, Véronique Louwagie, Gilles Lurton, Patrice Martin-Lalande, Yannick Moreau, Pierre Morel A l'Huissier, Yves Nicolin, Patrick Ollier, Bernard Perrut, Frédéric Reiss, Arnaud Robinet, François Scellier, 

autour de Martin Bouygues

Président Directeur Général du groupe Bouygues

sur le thème :

"Normes et contraintes fiscales : comment continuer à être performant ?"

La dernière revue est en ligne !

GEEA vient de publier son livre blanc !

Petit déjeuner autour de Michel Combes, Président Directeur Général de Numericable-SFR

En présence d'Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Guillaume Chevrollier, Julien Dive, Philippe Dominati, Claude de Ganay, Bernard Gérard, Denis Jacquat, Charles de la Verpillère, Isabelle Le Callennec, Gilles Lurton, Alain Moyne-Bressand, Pierre Morel-A-l'Huissier, Frédéric Reiss, Fernand Siré, Guy Teissier, Pascal Thévenot, Arnaud Viala, Philippe Vitel

A l'occasion de son petit-déjeuner mensuel, GEEA, présidé par Olivier Dassault a reçu Michel Combes, PDG de Numericable-SFR sur le thème : 

" La France connectée "

Lu dans les Echos : La loi El Khomri, symbole de tous les renoncements

Lu dans les Echos : La loi El Khomri, symbole de tous les renoncements

90 parlementaires, membres de GEEA ont publié cette tribune dans les Echos pour dénoncer le projet de loi El Khomri.

Petit-déjeuner autour de Thibaud Simphal, directeur d'Uber France

En présence d'Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Arlette Grosskost, Michel Herbillon, Denis Jacquat, Jean-Michel Couve, Virginie Duby-Muller, Gérard Menuel, Frédéric Reiss, Arnaud Viala, Jean-Pierre Vial, Claude Sturni, Pierre-Morel-A-l'Huissier, Bérengère Poletti, Jean-François Mancel, Jean-Baptiste Lemoyne, Gilles Lurton, Claude de Ganay, Philippe Gosselin, Claude Greff, Isabelle Le Callennec

A l'occasion de son petit-déjeuner mensuel, GEEA, présidé par Olivier Dassault a reçu Thibaud Symphal, General Manager Uber France sur le thème : 

" UBER ou la révolution des services? "

 

Petit déjeuner autour de Paul-François Fournier, Directeur Innovation de BPIFrance

En présence d’Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Olivier Carré, Marianne Dubois, Annie Genevard, François Guégot, Arlette Grosskost, Claude Greff, Michel Herbillon, Véronique Louwagie, Gilles Lurton, Alain Moyne-Bressand, François Rochebloine, Catherine Vautrin, Philippe Vitel

Alors que la BPIFrance tient en ce moment l’affiche pour motiver les entrepreneurs et séduire les jeunes : « Entrepreneurs, vous envoyez du bois, nous enverrons du blé », GEEA a souhaité interroger son directeur exécutif et directeur de l’innovation, Paul-François Fournier, sur le rôle de cette banque publique dans le financement des projets innovants.

Paul-François Fournier nous a informé que la BPI France avait fait le choix de « l’effet d’accélération pour les start-up » même si elle continue sa mission de service public là où les banques sont absentes.

Il a rappelé l’importance de l’innovation pour créer de la croissance et des emploiset ajoute que : « l’entreprise innovante croît en moyenne de plus de 10% par an. Celle qui n’est pas innovante a un chiffre d’affaires qui décroît de 2 à 3% par an. Le sujet de l’innovation est au cœur de la problématique de la création de valeurs et derrière c’est l’international. »

Paul-François Fournier a rappelé combien le crédit impôt recherche était essentiel dans le soutien à l’innovation puisqu’une enquête de l’OCDE montre que la France est le troisième pays au monde dans les dispositifs d’incitation à innover.

"Petit déjeuner autour de Bernard Spitz, Président de la FFSA

En présence d’Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Guillaume Chevrollier, Daniel Gibbs, Gilles Lurton, Pierre Morel-A-l’Huissier, François Rochebloine, Claudine Schmid, Jean-Pierre Vial

Faut-il mettre fin au principe de précaution?

C’était le thème auquel a bien voulu répondre Bernard Spitz, Président de la fédération des sociétés d’assurance, invité le 24 novembre 2015, dans le cadre du petit-déjeuner mensuel organisé à l’Hôtel de la Questure de l’Assemblée nationale.

D’après Bernard Spitz, l’arrêt de la cour de cassation de mai 2011 paralyse notre système par rapport à la notion de risque. « Le principe de précaution est un parapluie qui décourage les entreprises. Personne ne peut résister, il s’applique même dans le financement de l’économie. A cela s’ajoute les difficultés de compétitivité : les complexités fiscale et administrative empêchent et découragent ».

Il ajoute « Nous avons les moyens de créer de la richesse et des emplois qui sont freinés par une administration laxiste, paralysant l’initiative et la créativité de ce pays. Nous gâchons nos atouts ! »

Les questions de la salle ont conduit le débat sur d’autres questions d’actualité : la paralysante directive Solvabilité 2, la dette publique Française, l’avenir de nos jeunes, sans oublier l’amendement Fourgous - Dassault qui a permis de déplacer 75 milliards d’euros dans l’économie.

Bernard Spitz est aussi l’auteur de plusieurs ouvrages politiques et son 14ème livre vient de paraître « On achève bien les jeunes » (chez Grasset).