Jean-Luc Lagleize

NOTRE REVUE GEEA : ENTRE POSSIBLE ET IMPOSSIBLE, DEUX LETTRES ET UN ETAT D'ESPRIT

Notre revue GEEA : Entreprises : les bons tuyaux pour l'innovation et l'emploi

Petit-déjeuner autour de Nicolas ROUSSELET, PDG du groupe Rousselet

En présence de Frédéric Reiss, Éric Ciotti, Hugues Renson, Jean-Luc Lagleize, Marc Le Fur, Emmanuel Maquet, Pierre Vatin, Valérie Bazin-Malgras, Stéphane Piednoir, Éric Straumann, Jacques Cattin et Fabien Di Filippo

En présence de Frédéric Reiss, Éric Ciotti, Hugues Renson, Jean-Luc Lagleize, Marc Le Fur, Emmanuel Maquet, Pierre Vatin, Valérie Bazin-Malgras, Stéphane Piednoir, Éric Straumann, Jacques Cattin et Fabien Di Filippo

La chanson qu’interprétait Joe Dassin dans les années 70 n’a jamais été autant d’actua- lité : « Dans Paris à vélo on dépasse les autos, à vélo dans Paris on dépasse les taxis... » Et nous, simple client sur la banquette arrière du G7, on crie : « Vas-y Joe, Vas-y ! »

La mobilité a-t-elle un sens ? Pour fluidi- fier, on imagine désormais les transports sur la Seine. Quel trafic !

Certes, Paris n’est pas la France, mais ce phénomène s’étend désormais aux autres grandes villes et même à notre ruralité.

Dans cet imbroglio circulatoire, il y a des conducteurs impatients, arrogants et rebelles, pas mal de râleurs, très peu d’exemplaires... chacun se reconnaîtra et... il y a les pros du volant qui se dis- putent la part du gâteau. G7 ou Uber ? Taxi ou Chauffeur Privé ? Entre l’artisan et le VTC, la guerre est déclarée, affûtée par l’examen du projet de loi sur les Mobilités alors examiné à l’Assemblée nationale.

Nicolas Rousselet, PDG du groupe Rousselet, composé de sociétés de logistiques, du loueur ADA de Homebox mais aussi bien sûr des taxis G7, le premier réseau national, était l’invité de cette matinée.

« En tant qu’acteur de la mobilité, nous avons la responsabilité de réfléchir à la ville dans laquelle nous voulons vivre demain. J’ai écrit deux essais à ce sujet, l’un, en 2015, sur la nécessaire humanisation de l'économie de partage, et, il y a quelques mois, un autre sur l’« urbanité », où j’essaye d’analyser comment les technologies actuelles nous permettent d’améliorer encore l’attractivité de nos villes, le bien-être, avec cette baisse des émissions de CO2, avec le partage de données, avec l’utilisation des « Big Data » pour améliorer la mobilité de l'ensemble de nos concitoyens... Nous sommes au cœur de la mobilité, le reflet de cette troisième révolution industrielle, de la mutation des villes, avec des foisonnements d'offres de tous les types de transport. » explique-t-il.

Il évoquera aussi les véhicules verts et connectés dont s’est équipé G7... mais quid des véhicules autonomes ?

« La loi LOM prévoit des expérimentations. Cela me semble très bien à partir du moment où, la technologie reste au ser- vice de l’humain. En zone rurale, les bus autonomes peuvent être un vrai moyen de donner plus de mobilité à nos concitoyens là où il n’y a pas forcément de taxis et pas forcément non plus de clients. » répond-il.

Petit déjeuner autour de Nicolas Seydoux, Président du Conseil d'administration de Gaumont

En présence d’Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Bernard Brochand, Guillaume Chevrollier, Dino Cinieri, Pierre Cordier, Catherine Dumas, Michel Herbillon, Claude de Ganay, Brigitte Kuster, Jean-Luc Lagleize, Sébastien Leclerc, Constance Le Grip, Gilles Lurton, Bernard Perrut, Maina Sage, Buon Tan, Laurence Trastour-Isnart, Pierre Vatin et Michel Vialay.

sur le thème :

« LE CINÉMA FRANÇAIS : UN RAYONNEMENT CULTUREL ... UNE FORCE ÉCONOMIQUE ? »

Petit-déjeuner autour de Jean-Dominique Senard, PDG de Michelin

En présence d’Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Valérie Beauvais, Bernard Brochand, Valérie Boyer, Pierre Cordier, Rémi Delatte, Vincent Descoeur, Marianne Dubois, Laurent Garcia, Yannick Haury, Michel Herbillon, Alain Houpert, Jean-Luc Lagleize, François-Michel Lambert, Laure de La Raudière, Charles de La Verpillère, Véronique Louwagie, Gilles Lurton, Sylvain Maillard, Pierre Morel-à-L’Huissier, Jean-François Rapin, Frédéric Reiss, Vincent Rolland, Eric Straumann, Laurence Trastour-Isnart, Pierre Vatin et Stéphane Viry.

sur le thème :

« RÉCONCILIER ENTREPRISE ET SOCIÉTÉ : CELA PEUT-IL ROULER ? »

Petit-déjeuner GEEA autour de Jacques Séguéla

En présence d’Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Emmanuelle Anthoine, Valérie Bazin-Malgras, Pascal Bois, Jean-Claude Bouchet, Celine Boulay- Esperonnier, Bernard Brochand, Fabrice Brun, Jacques Cattin, Pierre Cordier, Olivier Damaisin, Remi Delatte, Eric Diard, Loïc Dombreval, Jean-Jacques Ferrara, Laurent Garcia, Annie Genevard, Yannick Haury, Michel Herbillon, Brigitte Kuster, Jean-Luc Lagleize, Sebastien Leclerc, Ronan Le Gleut, Constance Le Grip, Gilles Lurton, Maxime Minot, Benoit Potterie, Eric Straumann, Laurence Trastour-Isnart, Pierre Vatin, Arnaud Viala et Michel Vialay.

sur le thème :

« PEUT-ON VENDRE UN POLITIQUE COMME ON VEND UNE LESSIVE ? »

Notre revue GEEA : Accélérons la croissance !

La construction de logements, un chantier à part dans l'économie française par Jean-Luc Lagleize

Jean-Luc Lagleize, Député de la Haute-Garonne, est impliqué de longue date au niveau local sur les sujets du logement, de l’immobilier, de l’urbanisme et de la rénovation urbaine en tant qu’élu à la Mairie de Toulouse et à Toulouse Métropole.

Il partage ici une réflexion : l’accélération de la construction de logements n’est pas uniquement un enjeu technique réservé aux professionnels du sec- teur, mais un réel change- ment de paradigme visant à améliorer le cadre de vie de tous les Français.

Le secteur du logement est-il est un secteur économique comme les autres ?
Comme nous l’observons au quotidien, la société française connaît de profondes mutations. Les nouvelles technologies révolutionnent nos manières de vivre, de s’informer, d’échanger, de nous déplacer, de travailler ou de consommer. Toutefois, malgré ces transformations radicales, le logement reste encore et toujours au cœur de nos vies et de notre société. Pour cette raison, le secteur du logement est un secteur socio-économique à part.

Cela ne veut pas dire pour autant que c’est un secteur immobile ou archaïque. Il doit en effet lui aussi s’adapter à nos modes de vie : familles recomposées, personnes à mobilité réduites, mobilité accrue, crois- sance démographique, transition énergé- tique et numérique, etc. Nous voyons aussi comment l’arrivée de nouveaux acteurs, tels Airbnb, fait évoluer nos politiques publiques et nos habitudes.

Quelle serait selon-vous la priorité absolue pour adapter le secteur à ces nouvelles réalités ? Nul doute que pour moi, l’accélération de la construction de logements est une prio- rité de premier plan. Ce grand chantier est extrêmement important ! 

Tout d’abord, trop de Français ont du mal à trouver un logement. Or, chacun de nos compatriotes doit pouvoir disposer d’un toît décent et adapté à ses besoins. C’est une règle fondamentale de notre vie en société, car tout se construit à partir du logement : la recherche et l’épanouissement dans l’em- ploi, la rencontre des autres ou encore l’in- tégration sociale.

Ainsi, qu’il soit locataire ou propriétaire, chaque citoyen doit être assuré de trouver à l’endroit de son choix, en proximité de son emploi, un logement conforme à ses attentes et à ses moyens financiers. Le problème est que la demande de loge- ments n’a cessé d’augmenter dans un contexte de pénurie d’offre, ce qui a entraîné une hausse évidente des coûts pour nos concitoyens et donc de nombreuses diffi- cultés. L’accélération de la construction de logements pourrait donc permettre de remédier à cela.

Quels seraient les bénéfices de cette accélération de la construction de logements ?
Il faut garder une chose à l’esprit : contrai- rement à de nombreux secteurs écono- miques, le secteur du logement est une source essentielle d’emplois non-délocali- sables. Alors que notre taux de chômage est encore trop élevé, nous ne pouvons pas nous permettre de connaître un nou- veau ralentissement ou une nouvelle crise du secteur, comme nous l’avons connu à la 

suite de la crise économique mondiale de 2007. Ce serait donc là un premier bénéfice inestimable.
En outre, ce choc de l’offre aurait une autre externalité positive non négligeable : les nouveaux logements, les bureaux transfor- més ou les logements rénovés seront mieux pensés et mieux réalisés, et participeront donc à l’effort national de transition éner- gétique et écologique. Je tiens à préciser cela car le secteur du bâtiment est un émet- teur majeur de gaz à effet de serre.

Comment favoriser cette accélération dans la construction ?
En réalité, le secteur du logement peut être assimilé à un gros paquebot. Il est à même de subir des intempéries, mais une fois à l’arrêt, il met du temps à redé- marrer et à retrouver son rythme de croi- sière. Il est donc indispensable de créer un environnement législatif et réglementaire favorable et stable pour l’ensemble des parties prenantes.

C’est d’ailleurs l’objet du futur projet de loi portant évolution du logement, de l’aména- gement et du numérique (ÉLAN). Celui-ci vise à libérer le foncier constructible, accélé- rer l’acte de bâtir en simplifiant les normes de construction et les procédures admi- nistratives, favoriser la transformation de bureaux en logements, ou encore à digitali- ser le secteur du logement. Il ne nous reste plus qu’à retrousser nos manches pour les débats à venir ! 

Notre revue GEEA : Un autre regard sur l'industrie

Petit déjeuner autour de Jean-Cyril Spinetta

En présence d’Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Thibault Bazin, Valérie Beauvais, Grégory Besson-Moreau, Pascal Bois, Jean-Claude Bouchet, Jacques Cattin, Olivier Damaisin, Loïc Dombreval, Jean-Pierre Door, Jean-Jacques Ferrara, Laurent Garcia, Yannick Haury, Alain Houpert, Jean-Luc Lagleize, Marc Le Fur, Véronique Louwagie, Gilles Lurton, Emmanuel Maquet, Maxime Minot, Christophe Naegelen, Bernard Perrut, Frédéric Reiss, Laurence Trastour-Isnart, Pierre Vatin, Arnaud Viala, Philippe Vigier, Stéphane Viry

« Et si nous prenions un train d’avance ? »

autour de Jean-Cyril Spinetta, Auteur d’un rapport sur l’avenir du transport ferroviaire

Petit-déjeuner autour de Nikolaus Meyer-Landrut

En présence d'Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Valérie Bazin-Malgras, Valérie Beauvais, Jacques Cattin, Gérard Cherpion, Guillaume Chevrollier,  Pierre Cordier, Olivier Damaisin, Jean-Jacques Ferrara, Fabien di Filippo, Philippe Gosselin, Michel Herbillon, Jean-Luc Lagleize, Philippe Latombe, Sébastien Leclerc, Marc Le Fur, Constance Le Grip, Vivette Lopez, Véronique Louwagie, Sylvain Maillard, Eric Pauget, Bernard Perrut, Frédéric Reiss, Jean-Charles Taugourdeau, Laurence Trastour-Isnart, Pierre Vatin, Charles de la Verpillère, Arnaud Viala, Michel Vialay

Petit déjeuner GEEA autour de Nikolaus Meyer-Landrut, ambassadeur d'Allemagne en France

sur le Thème:

"L'apprentissage en Allemagne : un modèle à importer?"

Visite de Station F : une fierté Française, un exemple à travers le monde

En présence d'Olivier Dassault, Alexandra Ardisson, Pierre-Henri Dumont, Jean-Michel Fourgous, Michel Herbillon, Jean-Luc Lagleize, Patricia Morhet-Richaud, Sébastien Huygue, Valérie Bazin-Malgras, Richard Ramos, Jean-Paul Mattéi, Pierre Vatin, Frédéric Reiss

Inauguré le 29 juin 2017 et réparti sur un campus de 34 000 mètres carrés , il est situé dans la Halle Freyssinet, à Paris. Cet incubateur a été créé par Xavier Niel et il est dirigé par Roxanne Varza. Il regroupe pas moins de 30 incubateurs, 1000 startups et 3000 entrepreneurs, avec une vision internationale.
Il rassemble également un certain nombre de services administratifs pour simplifier la vie de nos entrepreneurs !
Il favorise l'open innovation sur des secteurs très variés comme la cybersecurite, le luxe, le voyage, le numérique ! Les parlementaires ont visité venteprivee.com et Thales.
Bravo Xavier Niel ! Ressourçant.